Elue à l’Académie française en juin 2005, Assia Djebar est l’auteur de quinze romans traitant de l’histoire algérienne, de la situation des femmes et des conflits autour des langues en Algérie. Traduite en vingt-quatre langues, son œuvre a été plusieurs fois couronnée par de grands prix internationaux.

Assia Djebar est décédée à Paris le 6 février 2015.

Bibliographie

•    Nulle part dans la maison de mon père, Fayard (2007), Sedia (2009)
•    La Disparition de la langue française, Albin Michel (2003)
•    La Femme sans sépulture, Albin Michel (2002)
•    Ces voix qui m’assiègent, Albin Michel (1999), Presses de l’Université de Montréal (1999)
•    La Beauté de Joseph, Arles, Actes Sud (1998)
•    Les Nuits de Strasbourg, Actes Sud (1997, Poche (2003)
•    Oran, langue morte, Actes Sud, (1997)
•    Le Blanc de l’Algérie, Albin Michel (1996)
•    Vaste est la prison, Albin Michel (1995)
•    Villes d’Algérie au XIXè siècle, Centre Culturel Algérien, Paris (1984)
•    Chronique d’un été algérien, Plume (1993)
•    Loin de Médine, Albin Michel (1991), Enag (1992), Poche (1995)
•    Ombre Sultane, J.-C. Lattès (1987),  Albin Michel (2006)
•    L’Amour, la fantasia, J.-C. Lattès (1985), Albin Michel (1995)
•    Femmes d’Alger dans leur appartement, Éditions des Femmes (1980), Albin Michel (2002)
•    Poèmes pour l’Algérie heureuse, S.N.E.D. (1969)
•    Rouge l’aube (avec la collaboration de Walid Carn), revue Promesses, n°1 (1969), S.N.E.D. (1970)
•    Les Alouettes naïves, Julliard (1967),  Actes Sud-Babel (1997)
•    Les Enfants du nouveau monde, Julliard (1962)
•    Les Impatients, Julliard (1958)
•    La Soif,  Julliard (1957)